/image%2F1297919%2F20141218%2Fob_b01edf_images.jpg)
Bonjours gentilles dryades et mignons farfadets.
Et viva Cuba, vivaaa ! Bon le blocus n’est pas encore levé. À Washington, les républicains vont tout faire pour retarder la chose, mais on est quand même sur la bonne voie. Espérons seulement qu’une fois ce maudit blocus aboli, on ne voit par revenir à la Havane tous ces mafieux américains qui tenaient le haut du pavé sous la dictature de Batista, car ne l’oubliez jamais, avant l’avènement de Castro porté au pouvoir par une guerre de guérilla, Cuba vivait sous la tyrannie d’un régime vendu aux puissants de l’argent sale, si tant est qu’il y est de l’argent propre… La dictature stalinienne qu’imposa le « lider maximo » au pays permit, qu’on le veuille ou non, de tenir à l’écart les grands rapaces yankees qui des années durant avaient dépecé cette île paradisiaque et l’avaient transformée en lupanar pour milliardaires. Sous ce régime fier et dur que l’on désigne désormais par « Castrisme » et non par castrateur, nuance, les cubains en ont certes bavé mais ils ont aussi appris la fierté, la bravoure et la dignité. Ils ne se sont pas serrés la ceinture pour rien. Aujourd’hui, Cuba, cet ex-bordel des États-Unis, est respecté partout dans le monde. L’éducation de sa jeunesse y est remarquable. L’illettrisme n’existe plus et la lecture est chez eux l’un des loisirs préférés. Sa médecine est une médecine de pointe et les Cubains sont mieux soignés que ne le sont les autres peuples sur le continent américain. Il ne manque plus à ce pays qu’une seule chose : la démocratie, pas la démocratie crapuleuse de la haute finance, non une vraie démocratie dont les pays scandinaves, en Europe, sont pour l’heure, le paradigme. Je croise les doigts.
Bon maintenant OBAMA, il va falloir, avant de prendre ta retraite, régler la question palestinienne. Tu n’en as plus rien à battre de l’électorat juif américain puisque tu ne seras pas réélu. Alors au boulot. Mate-moi un peu ce voyou de Netanyahou. Coupe-lui les vivres. Oblige le à appliquer la résolution 242 de l’ONU et à restituer tous les territoires spoliés aux Palestiniens depuis 1967. Ah ! Si tu réussissais cela, alors oui tu marquerais l’histoire de ton pays et du monde entier et laisserais pour la postérité l’image d’un grand homme. Bon sang ! Mérite-le un peu ton fichu prix Nobel. Tu as là une chance, une seule, de devenir aussi immortel que le grand Nelson Mandela. Qu’attends-tu, nom de dieu !
La bonne journée Dryades et Lutins !