Allez une dernière petite pinte de Munich avant de revoir Paris…
Retour.
Hier en quittant Munich la neige nous a salués
Une neige propice, douce comme une caresse,
Légère comme du duvet, qui s’évada des nuées
Et fit naître en moi une étrange allégresse.
La ville sous ce fard devint encore plus belle
Et j’eus un pincement d’avoir à la quitter
Mais au bout d’un moment, Paris nous interpelle
Comme s’il redoutait une infidélité.
Dans un dernier regard du hublot de l’avion
La ville toute blanche se distinguait à peine
Ma main lui adressa un signe d’affection.
Notre arrivée manqua d’un accueil romantique
Dans ce taxi coincé sur le périphérique
Comme pour nous punir de notre trahison.
Vivaaaa !
JB
La pub qui s'inscrit dans les textes est récente. Elle se fait contre ma volonté sans qu'on m'ait demandé mon avis. Ne la lisez surtout pas. C'est une intrusion.