Quand il n’y a pas la mer, mes nuits ne sont pas roses
Le rêve libertaire très souvent me survole
Depuis que le père Proudhon m’a fait réfléchir
En affirmant : « La propriété c’est le vol ».
Mais ce rêve s’estompe quand je veux le saisir. ( Suite après l'intrusion)
Quelquefois, il me frôle quand l’aube se dessine
Après des heures passées dans un noir sidéral
A voir se profiler les mots de Bakounine
Qui a décrété que l’Etat était le mal.
Il me nargue souvent et bien sûr m’indispose
Surtout quand apparaît « l’aurore aux doigt de rose »
Et que Je crois le voir ce matin triomphant.
Je sais que ce sera sûrement un déboire,
Que le jour « ne sortira pas comme d’une victoire »
De ces nuits bien trop longues que je quitte en piaffant.
Vivaaaa !
JB
La pub qui s'inscrit dans les textes est récente. Elle se fait contre ma volonté sans qu'on m'ait demandé mon avis. Ne la lisez surtout pas. C'est une intrusion.