Attention. Ce texte évidemment n’est pas dirigé contre le peuple chinois qui comme tous les peuples a ma sympathie. Il cible ces satrapes rouges qui ont tout fait pour cacher l’apparition funeste du Covid-19, allant jusqu'à interpeller et menacer le docteur Li, le premier à l’avoir détecté et signalé à ses confères. Le courageux docteur Li fut l’une des premières victimes de ce virus qu’il a contracté en soignant des malades.
La coupable transgression.
Le monde entier subit ce Covid né en Chine
D’une pharmacopée issue des temps anciens
Où l’on raffole des poudres de perlimpinpin
Qui n’ont rien de commun avec la médecine.
« Cornes de rhinocéros, écailles de pangolin
Dents de tigres broyées, et vous serez doté
D’une force vitale et d’une virilité
Qui vous éviteront impuissance et déclin ».
C’est ce que leur font croire les marchands d’orviétan
En vantant leurs produits qui se vendent très bien.
Même si la science sait qu’ils ne servent à rien,
Les superstitieux ont foi dans leurs charlatans.
Ils boivent leurs décoctions horriblement amères
A base de crapauds, de crotals, de vipères
En faisant la grimace, convaincus, c’est certain
Que ces affreux breuvages leur seront souverains.
Cette manie de prêter à la faune des vertus
Et d’en consommer les os ou les viscères
Transmet aux humains des virus inconnus
Qui comme le covid, avec nous, entrent en guerre..
Ces habitudes anciennes surprennent évidement
Dans une Chine qui fabrique tous nos médicaments
Depuis que pour s’assurer des marges maximales
Nos laboratoires emploient leurs usines locales.
Il en est ainsi pour toutes nos pièces détachées
D’automobiles, de camions, de trains, d’avions.
Ou d’ordinateurs. Impossible de le cacher,
Si la Chine s’arrête, tous nous nous arrêtons.
La délocalisation, réalité sévère,
A rendu nos pays entièrement tributaires.
Imaginons la Chine stoppant ses productions
Et nous connaîtrions de graves récessions.
La leçon du Covid qu’il nous faut retenir
Suggère le retour de toutes nos productions
Dans la mère patrie en mal d’occupations
Qui verrait son chômage nettement s’amoindrir.
Le comble, voyez- vous, c’est qu’aujourd’hui Pékin
Nous vend des masques, à nous, qui n’y sommes pour rien
Et se requinque sans même un mot de compassion
Aux peuples victimes de ses insanes transgressions.
JB