Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour certains mots incompréhensibles qui apparaissent dans mes billets matinaux et que je corrige par la suite grâce au concours de Marion ou de l’aède occitan. ( après la pub imposée)
L’œil trompeur
J’eusse aimé avoir le génie du grand Victor
Du fragile Paul la tendre sensibilité
Du jeune Arthur la fulgurante lucidité
De Charles l’esprit sulfureux, brillant comme de l’or.
Hélas je ne suis qu’un rimailleur retraité
Qui en vers de douze pieds s’amuse au quotidien
A pondre un billet dicté par l’actualité
Ou de faits plus joyeux quand l’inspiration vient.
Une dégénérescence maculaire rend cette tâche
Laborieuse car j’essaie de trouver les erreurs,
Toutes ces lettres pirates qui dans un mot se cachent..
Or quand on n’a pas comme les précités auteurs
Une aura qui rend plus indulgent le lecteur
Tout lapsus oublié, évidemment, nous fâche.
VIVA.
JB