Au pilori les lâches qui massacrent celles qui ont commis l’erreur de les aimer ? ( risuqe de pub, le sonnet est plus bas)
Les féminicides
Je plains les jeunes filles aux amants possessifs,.
Ces faux caïds qui jouent les costauds pour leur plaire.
Les vrais ne sont pas mieux, voire plus excessifs
Tous, sous des airs charmeurs, sont des êtres primaires
Les pires sont les bellâtres qui veulent épater.
Le masque de prince charmant sied à ces prédateurs
A leurs yeux, les filles sont des proies à appâter.
Quand ils les tiennent la brute remplace le tombeur
Combien de jeunes femmes abusées par ces leurres
Se sont mariées pour le meilleur et pour le pire
Sans se douter qu’elles n’auraient jamais le meilleur.
Confrontée à l’ivresse cruelle de l’époux
Qui à force de coups finira par l’occire
Elle le bravera, avec mépris, jusqu’au bout.
JB