Demain nous prenons le train pour Antibes et déjà me hantent d’attachantes sonorités ( Glissez sur la pub imposée)
Podia luisté !
Il est là, ponctuel, ce goéland râleur
Qui s’affirme très fort dans ce matinal tapage
Et ricane en écoutant le doux babillage
D’un merle amoureux s’exprimant avec bonheur.
La merlette s’est posée près du micocoulier
A deux branches du pinson qui vit là tous les jours
Et qui sait recevoir en hôte hospitalier
Ceux qui sifflent aussi bien les aubades d’amour.
Il se hasarde à glisser un trille excellent
Dans ce dialogue émouvant et sentimental,
Il ne plait pas à ce râleur de goéland.
Qui interrompt très vite ce trio musical.
Par un cri cinglant il active les tourterelles
Qui fort peu inspirées, répètent le même appel
Ce sont-elle mise à parler en Russe, ces commères
Qui voient se terrer les « Poutiniens » milliardaires ?
Ils ont tous un peu peur ces puissants oligarques
Dont quelques-uns déjà ont cessé d’existé.
Est-ce pour cela qu’elles ont envahie tous les parcs
Et lancent à tour de rôle des « Podia luisté ».
Podia luisté ! Podia luisté ! Podia luisté ! Podia luisté !...
VIVA
JB