« Que vous soyez puissant ou misérable »…
Qui se souvient encore du jour où Kadhafi
Lors de sa visite d’État en France a osé
Dans le parc d'un hôtel,(1) en face de l'Élysée,
Planter ostensiblement sa tente par défi,
Avec cet air de dire : « C’est aussi ma maison,
Car si tu y habites, c’est grâce à mon pognon ».
Qui se souvient aussi du doute qui plana
Sur les commanditaires de son assassinat
Après son éjection, par un soulèvement,
Du pouvoir qu’il exerça durant quarante ans ?
Bref, Il faut du culot et beaucoup d’indécence
Pour oser dire que nos juges font honte à la France.
Idem pour celle qui a détourné tant d’argent
De l’Europe pour rétribuer les permanents
De son parti. La justice lui réclame des comptes
Elle pense donc, elle aussi, qu’elle se couvre de honte.
Et bien non ! Obsolète ce constat de la fable :
Disant : « Que vous soyez puissant ou misérable
Les jugements de cour seront ou blancs ou noirs »
La justice, aujourd’hui, nous donne un peu d’espoir.
Viva ! JB
(1 ) Hôtel de Marigny où la présidence loge ses invités de marque
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